Dans la forêt des souvenirs
Dans une forêt où les feuilles, aux teintes de citrouille, tapissent le sol,
Je me sens d’humeur ciel,
Plongée dans le ressac de mes pensées passées.
Chaque pas que je fais éveille une rivière,
Transparente et humide,
Qui menace de s’échapper de mes yeux châtains.
Je me répète sans cesse que tout ira mieux,
Mais lorsque la nuit tombe,
Mon esprit s’égare dans l’ombre de ses pensées.
Puis, elles disparaissent…
Lorsque je m’endors,
À la fin de ma balade,
Je suis forcée de prétendre une humeur jaune,
Comme si plus personne ne se souciait de moi.
Dans la forêt des souvenirs
Dans une forêt où les feuilles, aux teintes de citrouille, tapissent le sol,
Je me sens d’humeur ciel,
Plongée dans le ressac de mes pensées passées.
Chaque pas que je fais éveille une rivière,
Transparente et humide,
Qui menace de s’échapper de mes yeux châtains.
Je me répète sans cesse que tout ira mieux,
Mais lorsque la nuit tombe,
Mon esprit s’égare dans l’ombre de ses pensées.
Puis, elles disparaissent…
Lorsque je m’endors,
À la fin de ma balade,
Je suis forcée de prétendre une humeur jaune,
Comme si plus personne ne se souciait de moi.